Dans certains cas, il est convenu que l’acheteur verse une somme d’argent lors de la signature de la promesse de vente. Le montant de la somme est défini par les deux parties. Comme vu précédemment, il est admis que ce
lle-ci puisse atteindre jusqu’à 10% du prix de vente.
Si le potentiel acheteur ne donne pas suite à une promesse de vente, il récupérera son argent. Dans certains cas, cette rétractation est due à la non-réalisation de l’une des conditions suspensives comme le refus de la banque d’accorder un prêt immobilier.
Si la rétractation est due au futur acquéreur uniquement, le vendeur conserve l’intégralité de l’argent (absence des démarches indispensables pour bénéficier du prêt bancaire, oubli d’envoi des documents…)
Les frais d’agence sont libres et peuvent être négociés entre l’acheteur et l’agence.
Souvent, les honoraires sont définis en fonction du prix de vente, plus le montant de la transaction est élevée et plus celui des frais d’agence le sera également.
Les notaires interviennent lors de la signature du contrat de vente définitif.
Leurs connaissances du marché de l’immobilier couplées à leurs compétences juridiques est un gage du bon déroulement des transactions immobilières.
Conformément à l’article 1593 du Code civil, il revient à l’acquéreur de régler les frais de notaire. Néanmoins, dans certaines situations, le vendeur accepte de le faire.
Ces frais sont constitués de plusieurs éléments :
En France, les acheteurs de biens immobiliers contractent souvent un prêt auprès de la banque. Celui-ci peut représenter la totalité du prix de vente ou bien une partie seulement. Le prêt peut également être d’un montant supérieur à la valeur de la maison.
De cette manière, il peut permettre de régler les frais de notaire.